Méditer avec les quatre éléments et les différents règnes de la nature
Avant toute forme de méditation (laïque ou religieuse), il existe une méditation « naturelle », celle que « pratiquent » les quatre éléments ; célébrations spontanées de l’Être/Don qui les fait être ce qu’ils sont.
C’est en s’harmonisant à cette méditation originelle que l’être humain découvre l’oraison comme accomplissement de sa nature, il croit comme l’herbe « croît », il prie comme l’âne et l’oiseau « chante ».
Myriam de Magdala à la sainte Baume, immergée dans la grande forêt et dans le secret de sa grotte sera notre guide vers cette oraison première, ouverte à l’infinie Présence, au corps cosmique et bien-aimé qui l’incarne.
Les mystères du Livre de la Formation (Séfer Yetirah) à travers ses commentaires.
Cet enseignement a lieu tous les 1er mardis de chaque mois à 19 h 30.
Méditation : 17 h 30
L’expérience de Jonas est celle des épreuves de la transmutation de soi en Soi, afin de dépasser les limites dans lesquelles on s’enferme, jusqu’à sombrer dans la torpeur de ce que l’on pense être une fuite.
Mais on ne fuit pas le monde, on le porte en soi.
Jonas est aussi l’incompréhension de l’adepte face aux effets de la Cause des causes.
Du pardon accordés à ce qui est paraît impardonnable à nos yeux clos, niant la valeur du repentir. Jonas doit apaiser la fournaise de sa colère et retrouver la fraîcheur délicieuse de son âme. Passer de l’ombre ténébreuse à l’ombre éclairante.
Dieu commande à Jonas d’aller à l’Est et voici que le prophète « est à l’Ouest ». Expression dont le sens est : Être dans un état anormal (de fatigue, d’hébétude, d’inattention…). Avoir la tête ailleurs.
C’est de cela que les quatre petits chapitres veulent nous faire prendre conscience, afin de nous réparer, de nous transmuter et de transformer la fuite en foi.
Retrouver son Être et sa mission d’Être.
La lecture et ses commentaires s’ouvriront à partir du texte hébreu.
Les mystères du Livre de la Formation (Séfer Yetirah) à travers ses commentaires.
Cet enseignement a lieu tous les 1er mardis de chaque mois à 19 h 30.
Méditation : 17 h 30
Se
Nous vous proposons des ateliers sur le thème du « Rêve » avec Bernard MIRANDE, écrivain, psychologue, conférencier et psychothérapeute.
Les ateliers se dérouleront de 18 h 30 à 21 h 30. Coût : 15 €
Ces ateliers seront basés sur de l’enseignement et de la pratique. Il est conseillé d’apporter vos rêves à chaque cours avec un exemplaire photocopié qui sera remis au formateur pour l’étude pratique. Ils pourront, éventuellement, servir d’exemple pour étayer la partie théorique.
Thèmes abordés le Vendredi 22 ou 29 novembre (date à confirmer)
– La quête de l’androgynat
– L’approche Jungienne (anima, animus, persona, ombre, Soi..)
– Le couple intérieur
– Le couple de la réalité
– La symbolique de la fécondation, réalisation personnelle
– La coïncidentia oppositorum et le processus d’individuation
Les mystères du Livre de la Formation (Séfer Yetsirah) à travers ses commentaires.
Cet enseignement : 19 h 30.
Méditation : 17 h 30
Les mystères du Livre de la Formation (Séfer Yetsirah) à travers ses commentaires.
Cet enseignement : 19 h 30.
Méditation : 17 h 30
Nous vous proposons des ateliers sur le thème du « Rêve » avec Bernard MIRANDE, écrivain, psychologue, conférencier et psychothérapeute.
Les ateliers se dérouleront de 18 h 30 à 21 h 30. Coût : 15 €
Ces ateliers seront basés sur de l’enseignement et de la pratique. Il est conseillé d’apporter vos rêves à chaque cours avec un exemplaire photocopié qui sera remis au formateur pour l’étude pratique. Ils pourront, éventuellement, servir d’exemple pour étayer la partie théorique.
Thèmes abordés :
– L’énergétique de la physiologie du corps subtil de l’Inde et le Caducée d’Hermès
– La symbolique des sept centres d’énergies et des chakras secondaires du corps aurique.
– Les sept étapes de la réalisation spirituelle
Les mystères du Livre de la Formation (Séfer Yetsirah) à travers ses commentaires.
Cet enseignement : 19 h 30.
Méditation : 17 h 30
Avec Esther, nous sommes en Perse, dans la ville de Suse, lors d’une grande fête que le roi Assuérus donne à sa cour.
L’humble servante Hadassah, choisit pour son incomparable beauté, se voit ornée de la Malkouth, la royauté, qui la transforme en reine Esther dotée d’une mystérieuse face verdâtre.
Un nom qui évoque Ishtar, la planète Vénus une déesse astrale particulièrement importante en Perse. Déesse de la guerre et de l’amour, qu’il faut invoquer pour bien régner sur un royaume (Malkouth).
Cette parure qui enveloppe Hadassah est celle de la Présence divine, parée de la Roua’h haQodésh, l’esprit de sainteté.
Avec Esther, c’est du concept kabbalistique Kéter-Malkouth dont il est question, ainsi que de la libération des âmes en servitude ; commémorée lors la fête des Pourim (9 & 10 mars en 2020).
Esther a le courage d’intercéder pour les Hébreux, qu’un décret du vizir Aman prévoit d’exterminer.
Le tout sur fond d’un ancien mythe babylonien, celui d’Ishtar-Mardouk, personnifiant les planètes Vénus et Jupiter. Selon le rouleau d’Esther (15a), elle est l’une des quatre plus belles femmes du monde, son histoire évoque la victoire de la beauté de la lumière sur la laideur obscure représentée par Aman et Vashti.