Ce troisième volet du Kabbalath Torah se place dans la continuité des lectures et commentaires des grands thèmes de la Torah, abordés à travers le regard de la mystique.
Cette session conclura l’épopée de l’errance dans le désert.
L’âme en migration tourne pour se transformer et réintégrer sa nature divine.
Pour cela, elle doit franchir les portes intérieures qui estompent l’onde du Verbe Créateur : « L’adepte dépassera l’une de ses portes, une étape, pour se rendre, selon la plénitude de son désir, au lieu choisit ».
Cette sortie de l’Egypte intérieure conduit au-delà du Jourdain, flux mystique des contemplatifs « descendeurs », vers la Terre Promise.
Toujours à partir d’une relecture directe du texte hébreu qui participe à la métamorphose d’être.
Atelier Kabbale avec Georges Lahy : Les mystères du Livre de la formation (Sefer Yetsirah) à travers ses commentaires
L’Ateliers débute à 19h30.
Cependant, ceux qui peuvent se libérer avant pourront participer à une méditation à 17h30.
9 h 30 – 17 Heures : Ecosophie : Agora animée par Myriam et Jean Baptiste.
Dans nos précédentes Agoras, nous avons posé les questionnements suivants :
« Comment habitons-nous la terre et comment elle nous habite ? ». Puis, « Comment les éléments Terre, Eau, Air, Feu et l’Ether vivent en nous dans nos terres intérieures ? » La dernière fois nous avons abordé le sujet « Comment vivons-nous les règnes ? » .
Ce dimanche 24 Mars, nous allons appréhender les saisons, comment vivent-elles en nous ? Et plus particulièrement l’hiver et le printemps.
13 h 00 – 14 h 30 : Promenade au coeur de la Camargue.
Atelier Kabbale avec Georges Lahy : Les mystères du Livre de la formation (Sefer Yetsirah) à travers ses commentaires
L’Ateliers débute à 19h30.
Cependant, ceux qui peuvent se libérer avant pourront participer à une méditation à 17h30.
Le Qohéléth, dit l’Ecclésiaste, est un des kétouvim (écrits) de la Bible. Il est attribué à Salomon. L’auteur s’adresse au « qahal », à la communauté des humains pour que tous trouvent un sens à leur vie, malgré « qu’il n’y a rien de nouveau sous le soleil ». La vie de l’être humain se déploie sans qu’il puisse peser sur son devenir. Que lui reste-t-il ?
Il y a un temps pour tout et un moment pour chaque chose sous le ciel.
Qohélet développe 28 termes descriptifs des actes de la vie humaine. A première vue, il s’agit d’oppositions. Mais l’analyse des 28 temps décrit un cheminement ésotérique, qui offre la possibilité de trouver la sérénité qu’accorde la Sagesse. A l’image des 28 jours de la lune capable de luire dans les ténèbres.
Le Qohéléth fait état de son expérience personnelle. Il voit un don de Dieu aux hommes : l’activité. C’est le don de vivre, d’appréhender la durée pour maîtriser le moment présent, mais cela n’a de valeur que si l’humain est capable de comprendre le sens de la vie.
Comme pour chacun des volets de ce cycle « Kabbalath Torah », nous ferons une lecture directe commentée du texte hébreu