Le TAICHINDO est une Voie de recherche Traditionnelle authentique dont la transmission reposes sur la pratique, seul ou en harmonie avec les partenaires, d’un Art du mouvement qui puise ses racines à la source commune de très anciennes Traditions complémentaires :
– Budo Originel (Voie qui arrête la violence), basé sur un travail sur le Souffle Vital s’exprimant dans la libre circulation de l’énergie dans les mouvements (forme Yang)
– Shih Pa Lo Han Sho (antique forme chinoise interne), basé sur un travail sur le Souffle Subtil s’exprimant dans la fluidité et l’harmonie des mouvements (forme Yin)
– Vajrà Yoga (forme millénaire spécifique de Yoga en mouvement), basé sur un travail sur le Souffle Profond s’exprimant dans la plénitude des mouvements et l’unification intérieure (Union Yin/Yang)
Ce stage d’initiation est pour découvrir cet art et je vous propose d’en explorer ensemble quelques aspects de cette pratique au cours de cette journée.
Une simple tenue souple et chaussures légères sont à prévoir.
- 10 h – 12 h – 14 h – 18 h
Les Mondes I :
« D’après la tradition hébraïque, notre création est née du fractionnement de l’Unité et ce, en 10 étapes, symbolisées par les 10 mondes de l’Arbre des Sephirots. Afin de retrouver cette Unité, l’Homme devra franchir l’Echelle des Sages et passer par les 7 épreuves des mondes de l’Arbre.
Lors de ce premier stage, vous découvrirez les trois premiers Mondes de l’Arbre : leurs caractéristiques (couleurs, formes, notes de musiques, archanges…) ainsi que la description de leurs Portes archétypales. Et, Aux travers d’exercices de visualisation de celles-ci, vous expérimenterez les 3 premières marches qui mènent vers l’Unité : le 9ème Monde ou celui de la maîtrise de la peur pour découvrir l’ouverture d’esprit ; le 8ème Monde ou celui de l’écoute afin de percevoir au-delà de nous-mêmes et le 7ème Monde ou celui du rapport à l’autre où vous y laisserez votre sensiblerie pour trouver l’Amour. »
Cette rencontre se place dans la continuité des lectures et commentaires des grands thèmes de la Torah, abordés à travers le regard de la mystique.
Dans cette session, après avoir abordé la première partie de l’épopée de Moïse, le texte nous fait accompagner le peuple hébreu dans son expérience du désert.
Selon le Zohar, la sortie des hébreux d’Egypte et l’errance dans le désert évoque la migration des âmes, en guilgoul, et leur libération spirituelle.
Cette vision offre la possibilité de rendre ce récit vivant et l’intégrer à l’expérience présente.
Toujours à partir d’une relecture directe du texte hébreu, nous accompagnerons Moïse et les âmes dans cette métamorphose d’être.
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Méditer avec les quatre éléments et les différents règnes de la nature
Avant toute forme de méditation (laïque ou religieuse), il existe une méditation « naturelle », celle que « pratiquent » les quatre éléments ; célébrations spontanées de l’Être/Don qui les fait être ce qu’ils sont.
C’est en s’harmonisant à cette méditation originelle que l’être humain découvre l’oraison comme accomplissement de sa nature, il croit comme l’herbe « croît », il prie comme l’âne et l’oiseau « chante ».
Myriam de Magdala à la sainte Baume, immergée dans la grande forêt et dans le secret de sa grotte sera notre guide vers cette oraison première, ouverte à l’infinie Présence, au corps cosmique et bien-aimé qui l’incarne.
9 h 00 : Rendez vous devant le site de l’Association
9h 30 – 11 h 15 : Promenade au cœur de la réserve de la Capelière sur le site du mas Badon. Marie et Alexandre nous proposent une nouvelle découverte des plantes et des arbres sauvages…
11 h 15 – 12 h 15 : Echanges sur nos expériences d’observation
14 h – 17 h 30 : Ecosophie : Agora animée par Myriam et Jean Baptiste. Ce dimanche, nous poursuivrons notre approche sur les saisons, comment la saison de l’automne vit en nous ?
Entrée libre
L’expérience de Jonas est celle des épreuves de la transmutation de soi en Soi, afin de dépasser les limites dans lesquelles on s’enferme, jusqu’à sombrer dans la torpeur de ce que l’on pense être une fuite.
Mais on ne fuit pas le monde, on le porte en soi.
Jonas est aussi l’incompréhension de l’adepte face aux effets de la Cause des causes.
Du pardon accordés à ce qui est paraît impardonnable à nos yeux clos, niant la valeur du repentir. Jonas doit apaiser la fournaise de sa colère et retrouver la fraîcheur délicieuse de son âme. Passer de l’ombre ténébreuse à l’ombre éclairante.
Dieu commande à Jonas d’aller à l’Est et voici que le prophète « est à l’Ouest ». Expression dont le sens est : Être dans un état anormal (de fatigue, d’hébétude, d’inattention…). Avoir la tête ailleurs.
C’est de cela que les quatre petits chapitres veulent nous faire prendre conscience, afin de nous réparer, de nous transmuter et de transformer la fuite en foi.
Retrouver son Être et sa mission d’Être.
La lecture et ses commentaires s’ouvriront à partir du texte hébreu.
Nous avons abordé ensemble le cycle des saisons.
Ce dimanche 16 février, nous vous proposons un échange d’expériences par un retour sur nous-mêmes : chacun tentera d’analyser et de décrire avant et au cours de notre rencontre les tenants et les aboutissants de cette expérience intérieure.
10 h 00 – 11 h 45 : Agora
12 h 00 – 13 h 00 : Pause déjeuner
13 h 15 – 14 h 15 : Si le temps le permet, nous vous proposons une ballade-partage de 4 km environ
14 h 30 – 17 h 00 : Agora suite
Entrée Libre.
Inscriptions ; Myriam 06 80 96 57 86 ou lesvoiesdelaconnaissance.arles@orange.fr
Avec Esther, nous sommes en Perse, dans la ville de Suse, lors d’une grande fête que le roi Assuérus donne à sa cour.
L’humble servante Hadassah, choisit pour son incomparable beauté, se voit ornée de la Malkouth, la royauté, qui la transforme en reine Esther dotée d’une mystérieuse face verdâtre.
Un nom qui évoque Ishtar, la planète Vénus une déesse astrale particulièrement importante en Perse. Déesse de la guerre et de l’amour, qu’il faut invoquer pour bien régner sur un royaume (Malkouth).
Cette parure qui enveloppe Hadassah est celle de la Présence divine, parée de la Roua’h haQodésh, l’esprit de sainteté.
Avec Esther, c’est du concept kabbalistique Kéter-Malkouth dont il est question, ainsi que de la libération des âmes en servitude ; commémorée lors la fête des Pourim (9 & 10 mars en 2020).
Esther a le courage d’intercéder pour les Hébreux, qu’un décret du vizir Aman prévoit d’exterminer.
Le tout sur fond d’un ancien mythe babylonien, celui d’Ishtar-Mardouk, personnifiant les planètes Vénus et Jupiter. Selon le rouleau d’Esther (15a), elle est l’une des quatre plus belles femmes du monde, son histoire évoque la victoire de la beauté de la lumière sur la laideur obscure représentée par Aman et Vashti.
Les douze pierres de la Jérusalem céleste
Les pierres et la construction de notre citadelle intérieure
De tous les rites initiatiques, l’harmonisation et l’intégration des pierres ont de tous temps été considérés comme un des plus importants travaux à effectuer avant de chercher à acquérir du charisme ou d’autres facultés.
Nous vous proposons un travail d’harmonisation avec les pierres : les 12 pierres de la Jérusalem céleste, tiré de l’apocalypse de Jean chapitre 21.
Par ce travail, nous favoriserons l’éveil de notre conscience pour une nouvelle étape d’évolution.
Pour pouvoir utiliser correctement les propriétés spirituelles des pierres, nous devons adopter une attitude intérieure spécifique.
C’est pourquoi nous devons clairement définir cette attitude qui va nous permettre de communiquer avec l’esprit de la pierre pour ressentir l’énergie qui est en elle.
C’est pour ne pas avoir respecté cette attitude et surtout par manque de connaissance que beaucoup d’aspirants ont essuyés des échecs et ont prétendu qu’il existait un secret conservé uniquement pour certains initiés.
Le seul secret qui existe en réalité est l’attitude juste que l’on doit adopter.
Notre but principal sera donc d’apprendre à établir un contact intime avec la pierre qui générera une véritable communion avec l’âme de cette pierre.
Les pierres sont comprises dans le prix annoncé.
Après avoir décrit les logiques perverses et mortifères qui conduisent à l’effondrement (collapse) du monde, Jean de Patmos reçoit la vision d’un monde nouveau (Jérusalem nouvelle) ou est restaurée la liturgie qui unit le ciel et la terre, l’homme et Dieu, Source de toute vie (minérale, végétale, animale, humaine, angélique).
Il contemple les « Pierres philocaliques » (matières habitées par la lumière), qui seront les fondements de ce monde nouveau.
Chacune d’elle symbolise une qualité d’amour, un exercice quotidien, qui peuvent nous « sauver », de la destruction et de la désespérance, rétablir la beauté et l’harmonie pour lesquelles le monde fut créé.
Nous faire « passer »(pessah) du chaos au cosmos, telle est l’œuvre du Logos que saint Jean reconnaît « au milieu de nous ». (Emmanuel.